Malya L.

Prénom : Malya
Nom : Lestil
Âge: 32 ans
Sexe : Féminin
Fonction dans le Haras : Ethologue pour certain, chuchoteuse pour d’autre … Ce qui est certain c’est que son travil consiste à rendre la confiance perdu des chevaux maltraités, brisés par l’homme ou bien tout simplement à vaincre la peur des chevaux tendus.

Taille : 1m65
Pays de naissance : Etats-Unis, New York
Discipline préférée : Saut
Carrière de compétition ? Quelques compétions en Cso et en dressage.

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Photos :deux mini

Spoiler:

Caractère :deux lignes mini

Malya est une personne sociable et gentille. Elle a du mal à se faire respecter par les humains mais elle trouve un certain respect dans le cœur de ceux qui aime les chevaux. Elle n’est ni égoïste, ni rancunière. Elle aime aider et apprendre et espère en plus d’exercer un métier au sein du haras, acquérir encore plus d’expérience.

Attitude envers les humains : Elle est gentille, peut-être trop …
Attitude envers les chevaux : Elle est tendre et gentille. Elle est très douce avec eux et les aides du mieux qu’elle peu.

Histoire :5 lignes mini

Malya est né loin de là, à New York. Elle a appris le Français par sa mère. Elle a grandi dans un univers de luxe et d’argent. Son père riche homme d’affaire ne s’est jamais occupé d’elle et c’est sa mère qui a fait son éducation. Elle n’en souffrait pas.
Sa richesse lui donnait au sen d son école privée un certain respect. Toutes les filles se tannaient pour l’approcher mais Malya les rejetait les unes après les autres. Seuls Caroline, sa meilleure amie avait le droit de rester près d’elle. Elle aussi était française et le jour où elle annonça son départ pour la France à Malya, celle-ci fut déchirée.
Elle abandonna toute espoir d’amitié et demanda à sa mère un animal de compagnie. Elle chercha un animal qui pourrait lui montrait une amitié fidèle.
Un chat ? Non, trop indépendant. Alors un chien ? Non, trop baveux.
Elle trouvait les rongeurs trop petits et les poissons ennuyeux. Sa mère ne voulait que son bonheur et lui proposa des animaux dont elle ignoré jusqu’à leur existence. Ce fut par un beau jour de janvier qu’elle se décida. Elle avait vu, une jeune fille se promener sur son cheval.
Malya avait 12 ans. Sa mère refusa catégoriquement. Elle ne savait pas monter et ne pourrait s’en occuper. La jeune fille demanda alors à prendre des cours. C’est comme ça que sa passion pour ce noble animal est née. Elle se révéla très doué et aimé tellement ça qu’elle pratiquait l’équitation 4 fois par semaine. Lorsqu’elle souffla ses 15 bougies, elle avait acquit le galop 5. Elle supplia sa mère de lui offrir un cheval, celle-ci hésita puis accepta. Ils parcoururent ensemble bon nombre de haras réputé, sans qu’elle ne trouve l’animal qui comblerait son cœur.
Elles se dirigèrent vers un haras très réputé dans la région. Il y avait là des dizaines de chevaux, tous plus beau les uns que les autres. Leur origine était toute excellente. Tandis que sa mère et l’éleveur discutaient, Malya se dirigea vers le fond de l’écurie. Il y avait dans un box isolé, un étalon. Sa robe noire charma Malya …

- Maman vient voir, cria t-elle.

Elle ouvrit le loquet du box et s’approcha doucement du cheval qui baissait les oreilles et se montrait terrifiant. Il hésita quelques secondes et approcha le bout du museau vers la main tendue de Malya. Celle-ci caressa délicatement son chanfrein. L’éleveur arriva en criant et en lui ordonnant tout de suite de sortir de la stalle de ce cheval fou. Celui-ci, commença à s’agiter à la vue de l’éleveur. Il se cabra devant Malya qui avait le souffle coupé. Elle courut à l’extérieur tandis que l’éleveur refermait la porte sur l’étalon qui ruait, se cabrait et envoyer des coups de dent dans le vide. Ses yeux reflétaient la peur et la haine.

- Celui là part à la boucherie dans deux jours, impossible à vendre, il est bien trop dangereux, avoua l’éleveur.


Malya le regardait alarmée. L’étalon bien qu’apeurait était magnifique. Elle se tourna vers l’éleveur lui demandant pourquoi il avait eu une réaction pareille.

- Il a été traumatisé, personne ne sait ce qui lui est arrivé.

La jeune fille se tourna vers sa mère. Elle avait trouvé le cheval qu’elle voulait. Même si elle ne pourrait jamais le monter, elle voulait lui éviter la mort.

- Maman, je veux celui-ci.

- Tu es sûre, lui répondit sa mère inquiète. Tu as entendu l’éleveur, il est traumatisé. Regarde, il y en a plein d’autre.

Malya insista et sa mère accepta à contrecœur. L’éleveur surpris leur fit un bon prix. Il fallut ensuite embarqué l’animal dans le van, ce qui ne fut pas une mince affaire.

Malya s’en occupa, le rendant de moins en moins méfiant. Elle le travailla à la longe, le désensibilisant au bruit de l’extérieur. Il lui fallut un an avant de parfaire l’éducation de l’étalon. Il se apprit vite mais resta méfiant. Elle commença à le travailler avec une selle sur le dos. Il resta calme et elle put lui mettre le filet.
Petit à petit il se fit à l’harnachement. Elle commença à exercer une pression sur le dos de l’animal. Celui-ci hennit et recula apeuré. Elle recommença lui parlant doucement en lui chuchotant des paroles rassurantes. Deux semaines plus tard, il accepta qu’une cavalière monte sur son dos.
Elle commença à le travailler d’abord en manège pour ne pas qu’il prenne peur des bruits extérieurs puis petit à petit, elle le sortit en carrière. L’étalon montrait d’abords sa peur en se cabrant et en fuyant. Chaque bruit nouveau était la source de nouvelle cabriole. Quatre mois plus tard, elle commença son véritable dressage, lui enseignant à sauter. Elle se rendit compte que l’animal était un excellent sauteur. A 19 ans, elle commença à le sortir en compétition.
La première fut un véritable échec. Lorsque la cloche sonna, l’étalon recula, apeurée, comme s’il se remémorait un ancien événement fâcheux. Elle le sortit plus souvent pas en compétition mais s’entraîner dans des endroits qui lui étaient inconnu.
Petit à petit, il se détendit et elle put enfin commencer les véritables compétitions. Elle ne remporta pas tout de suite mais il devint de plus en plus douer et commença à monter sur les podiums.
A ses 25 ans, Malya partit rejoindre la France, emmenant son cheval avec elle, en lui promettant une retraite bien paisible. Elle travailla dans divers centre équestre en travaillant avec les chevaux peureux, maltraitait ou blessé par l’homme, les rassurant.
Elle commença à se faire un nom. Elle n’aimait pas le terme éthologue puisque c’était une science fondé sur le comportement du cheval. Ce qu’elle faisait c’était autre chose, elle les mettait en confiance. Certain disait qu’elle était une chuchoteuse comme il en existait autrefois. Elle, elle ne se donnait aucun nom.
Quelques semaines après l’anniversaire de ses trente ans, son cheval décéda. Elle ne voulait pas en racheter un autre et continua son travail. Elle fut appelé par le cadre noir de saumur, pour un cheval qu’il, qualifiait de complètement incontrôlable.
Lorsqu’elle arriva sur place, elle aperçut un frison blessé aux membres, au garrot ainsi qu’au visage. Le personnel du cadre noir, lui expliquèrent qu’il l’avait racheté à un centre équestre et que c’était dans cet était qu’il était arrivé.
Il lui fallut un an pour qu’il guérisse totalement et qu’elle puisse commencer le travail. Elle n’avait jamais vu pareil animal et se jura de lui redonnait confiance. Le travail dura 5 ans mais elle parvint à faire du frison, un animal docile, bien qu’il garde son côté méfiant.
Pendant son séjour, elle rencontre Serge, cavalier émérite au sein de l’écurie.
Elle resta au sein de l’écurie, aidant à gérer les quelques chevaux timide mais jamais elle ne revu un cheval aussi peu confiant que ce frison. Elle acquis de l’expérience et passa facilement son galop 6 et 7.
Elle quitta l’écurie à 45 ans, cherchant à retrouver les traces de serge qui lui avait expliqué son projet de créer une écurie. Elle trouva le Haras du clos et décida d’y poser une lettre pour y être accueilli. On lui dit qu’elle serait éthologue mais elle refusa ce nom …



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Lecture du règlement ? Oui ^^
Preuve(s) : YES
Remarques diverses : Non
Connaissance du forum : Par ma soeur
Habitués au RPG ? Oui

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Attribution :A remplir par Serge